That's Holiday !

Et voilà ! Après un début de semaine long et chargé (pas moins de trois contrôles prévu le Mardi) puis un Jeudi et Vendredi qui sont passés a une vitesse folle, nous voici en vacances pour une durée d'une semaine et demi.

Je me remémore cette semaine fantasmatique...

Lundi deux heures de physique dont je ne me souviens même plus, un cours d'éducation physique et sportive à parler western et "écraser" Agathe en la soulevant (excuse moi encore). Pour l'après-midi pas la peine de revenir dessus, c'était comme d'habitude. Le soir Prune me fait bien rire avec ceci :

Pour le deuxième jour de cette semaine, et comme je l'ai dit précédemment, c'est évaluation (en mathématiques, en allemand, en géographie et un TP noté en Physique) !

Passons, s'il vous plaît, le Mercredi qui fut sans grand intérêt.

Et nous voici au deux jours qui sont passés aussi vite qu'un TGV sur une poupée vaudou à l'effigie de Sarkozy mais dont le résumé sera beaucoup plus complet...

"Non, c'est pas possible! J'ai eu 6 en allemand! Un exploit!" m'écriais-je au moment où la prof d'allemand nous rendaient nos contrôles avec un immense sourire (surement parce qu'elle à fait une super affaire en achetant une super pendule à 3€). Enfin bref, rien ne valut le cours de soutient de Math (je passe le cours de S.E.S. qui fut encore un grand débat sur notre société - ou conjoncture actuelle, comme dirais Jérémie) où, avec Camille, nous nous rendîmes pour découvrir que pendant la première partie de ce cours, nous allions nous retrouvés que tous les deux (moi personnellement, cela ne m'a pas dérangé). Pendant l'heure, Monsieur Mérien, nous annonce que les contrôles effectués Mardi sont tellement minables qu'ils ne seront pas comptés dans la moyenne (il nous a avouer que quand il avait vu les zéros se multiplier, il a arrêté la correction). Merci mon dieu ! Ensuite, après avoir passé une heure de Français et une heure d' E.C.J.S., le cours de cinéma commence. La première heure et demi dut un pur cours de cinéma à apprendre le langage cinématographique correct pour pourvoir analyser une séquence et surtout nous préparer au contrôle de la rentrée. La deuxième heure et demi fut nettement moins sérieuse. J.B. Marché sépare la classe en deux groupes et envoie une partie dans une autre salle du lycée tandis qu'ils nous laissent (Hélène, Prune, Agathe, Camille, Jean, Adeline, Jénifer, Jérémie, Zakarya, Tomy, Jordan, Gaëtan, Maddison et moi) ensemble pour travailler les séquences de notre court métrage. Je crois que l'ont à tout fait sauf travailler... Outre imiter "les Bronzés font du ski" avec une deux grandes règles du tableau et un balai avec Tomy, calmer Jérémie qui nous imite avec brio un épileptique en pleine crise et répété sans cesse "Yes We Can!" avec Maddison, oui je crois que nous avons considérablement avancés dans l'écriture de ce scénario.

Le Vendredi (dernier jour!) commença par Anglais et le film Une vérité qui dérange orchestré par le prix Nobel de la Paix j'ai nommé Monsieur Al Gore. Un film que je voulais voir depuis longtemps pour ma part et je ne cache pas que je suis vraiment content de le voir avec la prof la plus écolo, probablement, du lycée. Vint après les deux heures de français, dont je ne peux que me souvenir d'avoir obtenu un merveilleux huit sur dix à mon travail d'écriture d'invention sur une fable de La Fontaine tellement j'étais impatient de terminer les cours (parce que j'ai oublier de vous prévenir que pour moi les cours se termine à midi).

La sonnerie retentit. Une joie immense me submerge. Je suis en vacances et le début d'une belle après midi s'annonce.

Après midi qui commence par attendre Jérémie pour expérimenté son nouveau narguilé. Après une heure d'attente direction les bords de Vienne (comme d'habitude) où du monde est présent. Mais avant, et après avoir confié mon ukulélé (retrouvé en début de semaine) à Agathe (qui en joue bien d'ailleurs :P), il nous faut du tabac, du charbon et une bouteille d'eau. Deux adresse où trouver le matériel : les célébrissimes (à Chinon en tout cas) Maison de la Presse et Shopi (dont leur nouveau paninis à la raclette sont, d'après certains, absolument immangeable). Bref. Revenant de notre glorieuse croisade, avec Gaëtan et Jérémie, ce dernier installe le nanar qui finalement n'était pas si bon (bordel ! on ne sens pas le goûts Tutti Fruiti !). Après ce fut le grand n'importe quoi. Avec Zakarya et Didier on est allé chercher l'instrument le plus rock 'n roll (ça c'est pour ma fripouille) de tout les temps. C'est à dire ma flûte à bec ! Pendant le retour à notre rassemblement, je croise Caroline (que je n'est pas vu sur le pont pour lui déclarer mon amour) a qui je dis au revoir (en pensant qu'elle va bien se faire chier où elle va).

D'ailleurs en parlant de Caroline :

Après, et en vrac, Aurélie arrive avec tout ces amis, Tomy joue Liberta de Pep's à la guitare tandis que tout le monde la chantonne, Jordan se noie dans son vomi (nan je déconne), Céline nous montre ses talents à la guitare, Jérémie grimpe dans un arbre (sa passion parait-il), Agathe loupe son bus (BRAVO!), on se met à jouer au jeu des Chivers (devenu culte dans notre gang XD), je fais des massages, on mange des noix de cajou, on fait des paniers avec de boules d'aluminium (oui Gaëtan c'est de l'aluminium) et j'enroule Jérémie avec et on fini par parler Camping (n'oublier pas, Dimanche soir sur France 2). Après tout ces événements (Prune en oublie même de me faire une atebas - dommage, elle a ramener sa laine pour rien) il est temps de tous nous dire au revoir. Je passe cette séquence émotion qui me fait déjà monté les larmes aux yeux rien que de l'écrire.

Vous allez vraiment tous me manquer pendant cette semaine et demi de vacances...

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Jamie Lidell - Another Day