Je n'ai rien à dire, mais je n'ai rien à faire ...
Nous sommes le 31 Octobre est les morts seront honoré pendant ces quelques jours. Donc saluons, le bras levé, Sœur Emmanuelle, Carlos ou encore Jim Morrison, qui eux, en ont surement rien à faire.
Ce premier Halloween sur mon blog ne pouvait pas se faire sans le grand classique de Michael Jackson qui a influencé des milliers d'artistes à travers le monde et encore maintenant. Classique. Tout le contraire de cette soirée que je passe en compagnie de Jordan qui, outre avoir ramener ce magnifique mankini de Borat, squatte littéralement mon ordinateur pour parler à sa chère cousine mais aussi à mes amies pour les pousser à créer une ligue anti-Benjamin.
Encore Oizo ! Et oui encore lui pour un extrait de la bande originale de son film Steak (sous son vrai nom, Quentin Dupieux), pour rester dans l'ambiance un peu morbide qui règne ses derniers jours surtout avec la pluie qui n'arrète pas de tomber et de nous mouiller. Car oui, la pluie mouille.
Give me the food, un titre qui va très bien car Halloween c'est bien sur la fête que tout les enfants attendent avec impatience car ces chers chérubins sortent en ville pour aller quémander (comme à la messe), à la porte des maisons du quartier, de succulente sucrerie pour pouvoir se goinfrer ensuite (après, on essaye de freiner l'obésité dans le monde...).
Mais Halloween symbolise pour moi le début du mois de Novembre, la presque fin des courtes vacances et surtout l'arrivée prochaine de mon anniversaire. Anniversaire qui, cette année, s'annonce vraiment bien et que j'attends avec impatience. Mais je ne vais pas trop en parler car il y a quelques personnes (que je ne citerais pas) qui vont encore me dire que j'en parle trop. Je peux au moins rappeler que c'est le 15 Novembre ?
Bon je termine cette article en vous disant que même si je me fais chier pendant ces vacances, je suis déçu que cela ne dure pas plus longtemps mais la perspective de revoir tout mes amis à la rentrée me redonne du courage (parce que si trouille tu as, c'est que tu es orange).
Bonne fin de vacances et vive Barack Obama, futur président des Etats-Unis d'Amérique.
Et voilà ! Après un début de semaine long et chargé (pas moins de trois contrôles prévu le Mardi) puis un Jeudi et Vendredi qui sont passés a une vitesse folle, nous voici en vacances pour une durée d'une semaine et demi.
Je me remémore cette semaine fantasmatique...
Lundi deux heures de physique dont je ne me souviens même plus, un cours d'éducation physique et sportive à parler western et "écraser" Agathe en la soulevant (excuse moi encore). Pour l'après-midi pas la peine de revenir dessus, c'était comme d'habitude. Le soir Prune me fait bien rire avec ceci :
Pour le deuxième jour de cette semaine, et comme je l'ai dit précédemment, c'est évaluation (en mathématiques, en allemand, en géographie et un TP noté en Physique) !
Passons, s'il vous plaît, le Mercredi qui fut sans grand intérêt.
Et nous voici au deux jours qui sont passés aussi vite qu'un TGV sur une poupée vaudou à l'effigie de Sarkozy mais dont le résumé sera beaucoup plus complet...
"Non, c'est pas possible! J'ai eu 6 en allemand! Un exploit!" m'écriais-je au moment où la prof d'allemand nous rendaient nos contrôles avec un immense sourire (surement parce qu'elle à fait une super affaire en achetant une super pendule à 3€). Enfin bref, rien ne valut le cours de soutient de Math (je passe le cours de S.E.S. qui fut encore un grand débat sur notre société - ou conjoncture actuelle, comme dirais Jérémie) où, avec Camille, nous nous rendîmes pour découvrir que pendant la première partie de ce cours, nous allions nous retrouvés que tous les deux (moi personnellement, cela ne m'a pas dérangé). Pendant l'heure, Monsieur Mérien, nous annonce que les contrôles effectués Mardi sont tellement minables qu'ils ne seront pas comptés dans la moyenne (il nous a avouer que quand il avait vu les zéros se multiplier, il a arrêté la correction). Merci mon dieu ! Ensuite, après avoir passé une heure de Français et une heure d' E.C.J.S., le cours de cinéma commence. La première heure et demi dut un pur cours de cinéma à apprendre le langage cinématographique correct pour pourvoir analyser une séquence et surtout nous préparer au contrôle de la rentrée. La deuxième heure et demi fut nettement moins sérieuse. J.B. Marché sépare la classe en deux groupes et envoie une partie dans une autre salle du lycée tandis qu'ils nous laissent (Hélène, Prune, Agathe, Camille, Jean, Adeline, Jénifer, Jérémie, Zakarya, Tomy, Jordan, Gaëtan, Maddison et moi) ensemble pour travailler les séquences de notre court métrage. Je crois que l'ont à tout fait sauf travailler... Outre imiter "les Bronzés font du ski" avec une deux grandes règles du tableau et un balai avec Tomy, calmer Jérémie qui nous imite avec brio un épileptique en pleine crise et répété sans cesse "Yes We Can!" avec Maddison, oui je crois que nous avons considérablement avancés dans l'écriture de ce scénario.
Le Vendredi (dernier jour!) commença par Anglais et le film Une vérité qui dérange orchestré par le prix Nobel de la Paix j'ai nommé Monsieur Al Gore. Un film que je voulais voir depuis longtemps pour ma part et je ne cache pas que je suis vraiment content de le voir avec la prof la plus écolo, probablement, du lycée. Vint après les deux heures de français, dont je ne peux que me souvenir d'avoir obtenu un merveilleux huit sur dix à mon travail d'écriture d'invention sur une fable de La Fontaine tellement j'étais impatient de terminer les cours (parce que j'ai oublier de vous prévenir que pour moi les cours se termine à midi).
La sonnerie retentit. Une joie immense me submerge. Je suis en vacances et le début d'une belle après midi s'annonce.
Après midi qui commence par attendre Jérémie pour expérimenté son nouveau narguilé. Après une heure d'attente direction les bords de Vienne (comme d'habitude) où du monde est présent. Mais avant, et après avoir confié mon ukulélé (retrouvé en début de semaine) à Agathe (qui en joue bien d'ailleurs :P), il nous faut du tabac, du charbon et une bouteille d'eau. Deux adresse où trouver le matériel : les célébrissimes (à Chinon en tout cas) Maison de la Presse et Shopi (dont leur nouveau paninis à la raclette sont, d'après certains, absolument immangeable). Bref. Revenant de notre glorieuse croisade, avec Gaëtan et Jérémie, ce dernier installe le nanar qui finalement n'était pas si bon (bordel ! on ne sens pas le goûts Tutti Fruiti !). Après ce fut le grand n'importe quoi. Avec Zakarya et Didier on est allé chercher l'instrument le plus rock 'n roll (ça c'est pour ma fripouille) de tout les temps. C'est à dire ma flûte à bec ! Pendant le retour à notre rassemblement, je croise Caroline (que je n'est pas vu sur le pont pour lui déclarer mon amour) a qui je dis au revoir (en pensant qu'elle va bien se faire chier où elle va).
D'ailleurs en parlant de Caroline :
Après, et en vrac, Aurélie arrive avec tout ces amis, Tomy joue Liberta de Pep's à la guitare tandis que tout le monde la chantonne, Jordan se noie dans son vomi (nan je déconne), Céline nous montre ses talents à la guitare, Jérémie grimpe dans un arbre (sa passion parait-il), Agathe loupe son bus (BRAVO!), on se met à jouer au jeu des Chivers (devenu culte dans notre gang XD), je fais des massages, on mange des noix de cajou, on fait des paniers avec de boules d'aluminium (oui Gaëtan c'est de l'aluminium) et j'enroule Jérémie avec et on fini par parler Camping (n'oublier pas, Dimanche soir sur France 2). Après tout ces événements (Prune en oublie même de me faire une atebas - dommage, elle a ramener sa laine pour rien) il est temps de tous nous dire au revoir. Je passe cette séquence émotion qui me fait déjà monté les larmes aux yeux rien que de l'écrire.
Vous allez vraiment tous me manquer pendant cette semaine et demi de vacances...
On va commencer, si vous le voulez bien, directement par le Jeudi.
La tête dans le brouillard (vous savez comme dans la pub pour le café) je me dirige en cours d'allemand avec une joie immense. On rentre dans la salle (la prof' à encore du retard, donc pour les leçons de ponctualités qu'elle a essayé de nous donner il y a deux semaines ...), on s'installe et là CONTRÔLE sur ces verbes irréguliers qui a surement traumatisé toutes les générations de lycéen (voir collégien) en matière de langue étrangère. Bref, c'est avec le cœur léger que nous quittons le cours d'allemand pour se diriger en S.E.S. pour les uns, en M.P.I. pour les autres. Pour moi c'est SES et je peux vous garantir que j'ai passer deux très bonnes heures à "vanner" Zako Zakouille (surtout sur sa tenue vestimentaire) parlé de relation sociale avec la prof' qui avais l'air contente de nous mettre devant la vérité vrai et de nous parler, une fois de plus, de 66 Minutes, l'émission de M6 (puis aussi de sa nièce qui passe le chiffon sur les meubles, mais bon). Ensuite direction le magasin de musique avec Zakarya pour faire la connaissance d'une (belle) connaissance (encore ?!) à mon negro qui s'appelle Sarah et qui m'a l'air très sympathique. Passons le cours de français (vous risqueriez de vous endormir devant votre ordinateur) et venons-en au cours de cinéma qui était ... emmerdant la plus part du temps. A noter quand même que : le sujet de notre à Agathe, Camille, Hélène et moi a été choisi par une grande partie de la classe et que j'ai tuer d'un geste mémorable une araignée qui attaquer notre intervenant Raphaël Jacoulot.
Aujourd'hui, Vendredi, heure d'anglais absolument ennuyeuse (c'est fou ce que la prof' d'anglais a changer en si peu de temps), heure de perm' a entendre Chuck jouer ENFIN de la basse et écouter la BO de Steak (Chiveeeeeers !) puis deux heures de contrôle de Français assez cool car c'était un sujet assez facile (n'est ce pas Carla ?). Pour terminer la journée (outre le cours d'allemand extrêmement long) une après-midi tranquille a jouer du ukulélé, a jouer au jeu des Chivers, a voir une certaine personne se faire engueler par les flics parce qu'il c'est baigner dans la Vienne xD, a voir Monsieur Quentin Plazar et ses amis interpréter une chanson des Pogues qui m'a beaucoup fait penser au jour où j'ai traversé cette satané frontière du Mexique au large de Quantico près de Bayork et également revoir Sarah au magasin de musique.
Dernière péripétie de la journée : Tweegy, mon fidèle ukulélé, à décider de rester dans le bus et de me quitter (nan je déconne bien-sur ! C'est moi qui l'ai oublier comme un con car je pensais à autre chose ...)
La vie est courte. Il faut en profiter avant qu'il n'arrive quelque chose ...
Alors faut-il que je lui dise ?
Lui dire que je suis tombé dingue d'elle, que je n'arrive pas à passer une minute sans penser à elle, que avant de la voir mon cœur s'emballe, que j'ai déjà pleuré parce que je pense qu'il n'y a aucun espoir entre une fille extraordinaire et tellement craquante comme elle et un pauvre type comme moi ?
Pourrait-elle m'aimer ?
Je ne sais pas ...
EDIT du Vendredi 17 Octobre : Elle le sait. Elle ne veux pas. Il est temps de tourner la page ...
Un cours de cinéma qui commença comme d'habitude : en bordel ! Ensuite, et pour l'écriture du scénario incroyable mis en place par Agathe, Camille, Hélène et moi, nous nous sommes mis en groupes pour "peaufiner" (tout le monde aime ce mot !) notre chef d'œuvre. Et c'est pendant cette réunion aussi importante qu'un G8 que, après une vanne absolument ... hilarante de ma ptite patate (NB : Agathe :P) que la "mauvaise humeur" que je gardais depuis le début de semaine s'évacua par ce fou rire mémorable. Puis, ne m'arrivant pas à m'arrêter (surtout avec la remarque de Agathe qui m'a tué "Il a un rire de biquette"), je décide de faire un petit tour de salle comme si de rien n'était mais ça ne s'arrange pas. Ensuite bonne idée de Camille et Agathe : "Et si on lui faisait des moustaches ?". Et me voilà avec mes belles moustaches bleues qui me font repartir dans un nouveau fou rire. Enfin bref c'était une bonne fin de journée (avec un air de Jimi Hendrix dans la tête quand je vois ce Jacky Tunning passé à côté de moi).
Aujourd'hui, après un cours d'Anglais absolument emmerdant, une heure de perm' a masser les pieds de Camille pour qu'elle se réchauffe ^^ et voir les filles délirer sur ceci, les deux heures de Français s'annonçait tristement longue ... ce qui fut le cas ! Comme dit Zak, je crois que la prof a un pouvoir qui fait que le temps est ralenti avec elle. En plus de ça elle s'amuse à virer les élèves sans raison (Jérémie tous derrière toi) ! Mais le seul bon moment des deux heures c'est comme même Zak qui nous chante une petite comptine allemande adorable que je vous propose d'écouter :
Midi. Après avoir avoué mes sentiments à Chuck (tout en mangeant mon Chili. Classe ! XD), Didier me tripotte la serviette. Je ne sais plus quoi faire ni où me metrre. J'ai peur.
Maintenant, comment résumer l'après-midi ?
Agathe et Camille me prennent pour un sofa (mais j'aime ça !) On s'arrose Camille écrase un escargot avec son manteau Avec Chuck, on se ballade sur la plage (pardon, les bords de Vienne) Avec Gaëtan on a fait les rebelles en achetant une bouteille d'Ice Tea et une boite de Pringgles Rencontre avec Aurélie (une fille sympathique au demeurant). Elle est fan de moi et je suis fan d'elle ^^ Prune ne me dit plus trop ROOBIIIIN. Je respire ... (sauf par SMS) Jérémie à l'air franchement déçu que son correspondant part (ou alors que la bière parte XD) D'ailleurs Jérémie : on se laisse poustache ! On joue de la guitare On parle anglais à un allemand On dit que dl'a merde avec Robin et on ressasse les souvenirs de l'an passé On se masse en file indienne On se dessine dessus On s'embrasse sur la bouche (de plus en plus d'ailleurs, ça devient grave) On devient des vrais Chivers ...
Voici des infos à dire quand on a rien à dire, pour briser la glace ou pour sauver des diners où l'ambiance et parfois ... nul à chier ! (en tout cas ceci à été prouver dans 99% des cas).
. Sur un vol Anvers-Londres de 1997, 21 passagers étaient centenaires. . Le pelage du tigre est rayé, mais sa peau l'est également. . En léchant un timbre, vous consommez un dixième de calorie, mais la même action vous en fait dépenser tout autant. . Mel Blanc, a qui on doit la voix de Bugs Bunny en anglais, était allergique aux carottes. . Si pour vous Big Ben est une horloge ou une tour, vous vous trompez complètement. C'est en fait la cloche de la tour de l'horloge située sur Westminster Bridge à Londres.
Aujourd'hui, Mardi, pas grand chose à raconter. Deux jours de cours totalement normaux à quelques petits détails près.
Jérémie déprime : la prof' d'anglais l'ignore c'est insupportable pour lui. Heureusement pour lui qu'il y a Max, son correspondant tout droit venu d'Allemagne, venu pour une semaine qui m'a l'air fort sympathique.
Et outre le fait que Berny au poignet de Camille et Berny à mon poignet ont divorcés, ces temps ci je ne me sens pas trop joyeux (d'ailleurs je m'excuse pour aujourd'hui à tout le monde)... mais comme on dit "Un Mars et hop, ça repart !"
Et pour terminer, la réplique théâtrale de Jérémie :
Amen à mon amour, il temps de partir d'ici !
(Un de mes grands secrets : Le Vendredi soir je me couche à 20h devant la télé avec mon plateau repas. Ensuite à 20h50, ma mère m'apporte un petit verre de lait chaud pour mieux apprécier Thalassa.)
J'ai oublié trois petits trucs :
J'ai été élu délégué de ma classe à 32 voix (sur 32 voix). Patte à prout POWER ! Tomate perverse !
Dimanche dernier (après avoir regarder Sardou père et fils dans l'émission de Drucker) je me suis dit qu'une semaine désastreuse démarrer. Ensuite un Lundi à être malade (pas de cours de sport malheureusement) a me dire que les jours qui arrivaient aller être rythmés par les multiples contrôles que l'on avait tout les jours ...
Le Mardi, même pas le temps de dire ouf que j'étais déjà devant ma copie d'histoire (Sujet : Athènes au Ve siècle avant JC). Mercredi matin avec le contrôle de Math redouté ... qui n'était pas si redoutable que ça, a été suivi par un cours d'anglais à parler poésie ! (Angry Lambs power !) Puis vint les deux derniers jours de cours de la semaine. Le Jeudi, où le matin tu comprends pourquoi Prune te fait un sourire de malade, et l'après-midi que tu passe au ralenti d'abord, puis en vitesse accéléré en cours de cinéma à inventer un scénario abracadabrant sur une colombe qui s'envole par une fenêtre.
Attention mesdames et messieurs ! Voici un de ces Vendredis mémorable que l'on passe chaque semaine:
En effet, ce Vendredi, Jérémie à décider de se mettre dans la peau d'un prof' le temps d'un cours d'anglais, le matin, à assister la prof et son rétroprojecteur. Ensuite, après une heure de perm' à se détendre et à prendre des photos, voici venu le temps (pas des rires et des champs) mais du dernier contrôle de la semaine : deux heures de Français sur une fable de La Fontaine (comme par hasard !). Ensuite l'après-midi et son lot de conneries était vraiment génial et restera un bon souvenir (comme tout les Vendredi aprem') : cigarettes aux thé réglisse-menthe (ça sentirait pas le shit par hasard ?), jouer de la guitare désaccordée avec Maxime et Tomy, ma fripouille est venu pour une heure, Jordan a balancé des cailloux (j'en ai retrouvé dans mes poches de pantalon, merci!), j'ai servi de repose pied à Cyrielle, Prune est partie à 15h et il a plu. Puis vint enfin le cours d'allemand qui, je pensais, allais gâcher l'ambiance. Et bien je peux maintenant l'avouer : c'était le meilleur cours d'allemand de ma vie ! (et ce qui me connaisse peuvent dire que si je dis cela c'est vraiment parce que c'était mémorable). Écoutez le fichier audio disponible au dessus pour comprendre où je veux en venir (Jérémie nous a, une fois de plus, démontré ses talents de professeur mais aussi de directeur artistique sous les yeux d'une prof' d'allemand ... émerveillée, qui révisait, quand à elle, son cours de langue Russe et nous qui chantions du rap, du rock et de l'opéra).
Maintenant je suis devant mon ordinateur a ressassé cette semaine et à me rendre compte, d'une part, que je ne suis pas capable d'avouer mes sentiments, et d'autre part, que cela faisait longtemps que je n'avais publié d'article. Mais franchement : tout le monde s'en contre fiche !
Nous sommes le 31 Octobre est les morts seront honoré pendant ces quelques jours. Donc saluons, le bras levé, Sœur Emmanuelle, Carlos ou encore Jim Morrison, qui eux, en ont surement rien à faire.
